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06/04/2013

JACQUES HIGELIN AU FIL DE SES ALBUMS 4/5 : “Paradis païen” (1998) “Je l’écoute pas souvent… j’avais du mal à chanter”

 

JACQUES HIGELIN

AU FIL DE SES ALBUMS 

4/5 


“ PARADIS PAÏEN ” (1998)

“Je l’écoute pas souvent… j’avais du mal à chanter”

 

1998 : dix ans après son dernier gros succès (Tombé du ciel), Higelin peine à retrouver la grâce qui l'avait jusqu'alors habité. Paradis Païen est enregistré dans la douleur, et sort dans une relative indifférence médiatique (même s'il se hisse au septième rang des ventes de disques). A le réécouter aujourd'hui, on réalise qu'il contient de très jolies chansons : Chambre sous les toits, notamment, ou L'accordéon désaccordé, qu'il reprit le soir de son 70e anniversaire au Zénith de Paris, en octobre 2010, devant 5 000 spectateurs enamourés.

CHRONIQUE DE PHILIPPE MEYER : 28.03.2013

 

CHRONIQUE DE PHILIPPE MEYER 

28.03.2013

05/04/2013

LA CHRONIQUE DE PHILIPPE MEYER : 27.03.2013

 

LA CHRONIQUE DE PHILIPPE MEYER 

27.03.2013

JACQUES HIGELIN AU FIL DE SES ALBUMS 3/6 : “CHAMPAGNE POUR TOUT LE MONDE (1979) : “Je suis p’tête qu’un chansonnier qui s’est risqué à faire du rock”

 

JACQUES HIGELIN AU FIL DE SES ALBUMS

3/6 

“CHAMPAGNE POUR TOUT LE MONDE

(1979) 

“Je suis p’tête qu’un chansonnier qui s’est risqué à faire du rock”

 

 

L'album mythique, sorti en 1979. Higelin est au summum de sa fantaisie décalée et un brin subversive. Paré d'un maquillage néo glam, il campe les maîtres de cérémonie démoniaques dans Champagne, qui reste son titre le plus magistral. Et dit sa vigueur poétique dans Tête en l'air, dont le dernier couplet donnera lieu sur scène à d'interminables et irrésistibles digressions (« y a des allumettes au fond de tes yeux/des pianos à queue dans la boite aux lettres »…). Avec Champagne, Higelin entre définitivement dans le clan des géants de la chanson.

 

Valérie LEHOUX

04/04/2013

HUBERT VOIGNIER : " LES HAUTES HERBES " 1/5

 

HUBERT VOIGNIER 

" LES HAUTES HERBES " 

  1/5

 

« Aussi je m’en vais par les routes… »

(les poèmes ne portent pas de titres, il s'agit des premiers mots indiqués ici entre guillemets)

 

Poème extrait du recueil Les hautes herbes, © Cheyne éditeur, 2004, réed. 2011

 

Né en 1964 à Lyon, Hubert VOIGNIER a publié quatre livres à Cheyne dans la collection Grands fonds (Suites terrestres, 1991, Paysages, encore et autres petits contes, 2003, Le Débat solitaire, 2006 et Le Morateur, 2008). Et deux autres titres chez Deyrolle : Paysages, en 1994, et Les Hauts Plateaux, en 1996. Collaboration aux revues Théodore Balmoral, Verso, L’Atelier contemporain (n°2, 2000 / n°7, 2003), les Heures.

 

Extraits choisis par Laurence COURTOIS

 

Prise de son, montage : Julien DOUMENC et Pierre HENRY

 

Réalisation : Michel SIDOROFF

 

Assistante à la réalisation : Laure-Hélène PLANCHET

 

CHRONIQUE DE PHILIPPE MEYER : 26.03.2013

 

CHRONIQUE DE PHILIPPE MEYER 

26.03.2013

 

03/04/2013

PRINTEMPS DES POETES 2013 : Jean-Pierre DUPREY "Qui dirait"

 

PRINTEMPS DES POETES 2013 

  Jean-Pierre DUPREY

"Qui dirait"

 

"Qui dirait"

La Fin et la Manière

 

Lu par Reda KATEB

 

Tiré du recueil La Fin et la Manière (1965), ce poème est publié dans l'anthologie proposée par les éditions Bruno Doucey pour cette 15ème édition du Printemps des Poètes.

LE JOURNAL DE PERSONNE: " LE MOT DE LA FIN "

Femme magnifique à l'intensité hors-norme. 

 

 Superbe et talentueuse...  

 

  A l'écriture riche et précise.

 

  Il est important de ne pas passer à côté

 

  Ne manquez pas de vous rendre sur son site: c'est une mine! 

 

  http://www.lejournaldepersonne.com/  Ou sur sa chaine Youtube:
http://www.youtube.com/watch?v=VuiAdm6sSFE&feature=mfu_in_order&list=U


Vivre… la chose n’est pas si simple!

Surtout, parce que je ne me sens prisonnière d’aucune vérité…
Rien… ne m’a jamais dispensé de réfléchir… aux présupposés…
Parce que rien ne m’a jamais semblé « bien fondé ».
Tout était sujet à caution …
C’est peut-être pour cette raison que je n’ai jamais rien cautionné…
Ni le bon, ni le mauvais.
Mon refus de prendre parti m’a beaucoup appris, sur les hommes et les idées…

J’étais et j’ai toujours été pour tous les points de vue, surtout contre le mien. Contre moi-même.
J’étais ma seule et unique adversaire, pendant que je fuyais les partenaires de tous bords… j’aimais me retrouver seule, sans secours, ni recours… me disant qu’il est bon d’être seule car la solitude est difficile.
Qu’il était bon aussi d’y réfléchir, car la réflexion est difficile… lorsque la pensée se regarde ou se sauvegarde avec toute la peine du monde.

Je le sus très tôt : personne ne peut assister personne.
Il n’est qu’un chemin, pas deux : le mien ou le tien… qu’on fait semblant de prendre pour le nôtre.
J’ai toujours laissé tomber les échanges sur les rêves bleus : tout ce qui nous fait songer à un possible partage comme pour nous faire oublier la gravité de notre solitude… de notre finitude… de notre impossible béatitude.

Je le sus un peu plus tard : toute raison enferme une passion.
Je ne cherche donc pas les raisons mais les passions cachées ou ignorées dans tout système de pensée. Les mobiles m’intéressent. Pas les motifs.
Non pas parce que je crois à l’inconscient mais précisément parce que je n’y crois pas.
Ce sont nos consciences qui simulent et dissimulent à outrance… parce qu’elles ont peur de vivre et de mourir…. peur de soi et donc des autres.

Non… je n’ai pas choisi de rédiger le journal de Personne pour être ou devenir quelqu’un.
Mais pour nous inciter les uns et les autres à lire au lieu d’élire, à se comprendre au lieu de se méprendre à loisir.
À chaque fois que je vous écris, je me dis en tremblant, quitte à perdre son temps, essayons de le perdre ensemble.
Quitte à avoir tort, essayons de tendre l’oreille à toutes les raisons du monde.
Car la vie, au cas où je ne l’aurais jamais dit est un théâtre où il n’y a pas d’autre lumière que celle qu’on veut bien faire.
Jouons le jeu… c’est ça notre rôle.
Le mien.

HIGELIN AU FIL DE SES AALBUMS 1/6 “Brigitte FONTAINE et Jacques HIGELIN… avant le déluge” (1976)

 

ALBUMS 1/6

“Brigitte FONTAINE et Jacques HIGELIN… avant le déluge”

(1976)

 

Paru en 1976, cet album regroupe des titres enregistrés (séparément, contrairement aux apparences) par Jacques Higelin et Brigitte Fontaine dans les années 60, pour le compte des éditions Jacques Canetti. Le grand découvreur de talents de l'après-guerre, patron du cabarets les Trois Baudets, avait repéré Higelin très tôt. Il commence par lui faire enregistrer des chansons écrites par Boris Vian, dont la fantaisie et l'esprit de résistance lui vont plutôt bien.

02/04/2013

PRINTEMPS DES POETES 2013 : Jean PORTANTE "Conceptions"

 

PRINTEMPS DES POETES 2013 

  Jean PORTANTE

"Conceptions"

 


Lu par Réda KATEB


Tiré du recueil Conceptions (2012), ce poème est publié dans l'anthologie proposée par par les éditions Bruno Doucey pour cette 15ème édition du Printemps des Poètes.


Document(s)

Les voix du poèmes - Anthologie

 

LES DESCHIENS : " LES ALLEMANDS "

 

LES DESCHIENS 

" LES ALLEMANDS "

 

Cette série de sketches courts met en scène toute une galerie de personnages interprétés par les comédiens de la troupe de Jérôme Deschamps et Macha Makeïeff. Les Deschiens ont un style très personnel et reconnaissable.


PERSONNAGES:

M. Morel : C'est le personnage principal de la série. Il est extrêmement rationnel, attaché à la vie quotidienne, et n'entend jamais utiliser la technologie moderne. C'est le stéréotype du Français « moyen » et il est hermétique à la culture (principalement aux livres).

M. Saladin : C'est un ami de M. Morel avec lequel il discute de toutes sortes de sujets. Il est la plupart du temps dans l'ombre de M. Morel et il cherche toujours à exprimer ses idées, bien qu'il ait du mal à les faire clairement comprendre. Les discussions qu'il entretient avec M. Morel sont souvent des quiproquos sur une expression à double sens (cyber café, bibliothèque, souris, cd-"rhum"...).

Mme Saladin (interprétée par est une femme autoritaire, soucieuse des apparences. Elle apparaît souvent comme commerçante, parfois comme professeur de langues étrangères.

Bruno Lochet: Un client de M. Morel qui a du mal à suivre ses explications.

Yolande : La femme de M. Morel. Elle suit souvent les préceptes de son mari sur l'éducation de leurs enfants. Elle représente elle-aussi un stéréotype : celui de la femme au foyer inculte.

Olivier : Le fils de M. Morel. Il essaye sans cesse de se cultiver en lisant des ouvrages de littérature classique (Gide, Yourcenar...) au grand dam de ses parents qui l'obligent à avoir des activités moins intellectuelles.

Atmen "Atomen" Kelif : Atmen Kelif, joue l'arabe de service qui se fait maltraiter verbalement et physiquement par M. Morel et M. Dusquesne.


SOURCE UNIQUE DE CES PROPOS-LA:

http://fr.wikipedia.org/wiki/Les_Deschiens

01/04/2013

PRINTEMPS DES POETES 2013 : Anthony PHELPS "Le siècle se défait d'un long calendrier"

 

PRINTEMPS DES POETES 2013 

Anthony PHELPS

"Le siècle se défait d'un long calendrier"

 

Orchidée nègre, 1987

 

Lu par Réda KATEB

 

Tiré du recueil Orchidée nègre (1987), ce poème est publié dans l'anthologie proposée par par les éditions Bruno Doucey pour cette 15ème édition du Printemps des Poètes.